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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 01:00

A DF, visite du Museo de Arte Popular, non loin de la place Bellas Artes.

Un édifice Art Déco entièrement rénové après le terrible tremblement de terre de 1985. Pour ce bâtiment, il faut comprendre par « rénovation » peinture blanche partout ! Dommage, surtout sur les rampes et autres rambardes en laiton. Le résultat est très graphique, mais un peu aseptisé.




Heureusement les collections ont gardé leurs couleurs mexicaines ! Un musée passionnant, même si – encore une fois – nous trouvons que les explications sont trop succinctes.



Mes favoris, les alebrijes : ce sont des animaux tout droits sortis d’un bestiaire fantastique et coloré. Une salle entière consacrée à ces petites bêtes, un vrai plaisir. Il y en a pour tous les goûts : insectes, dragons, chevaux, hybrides en tous genres.


    

    

Apparemment, deux centres de fabrication pour ces alebrijes : en papier mâché à Mexico et en bois à Oaxaca.

Etienne rencontre le plus grand d’entre eux, qui monte la garde dans le hall du musée…




Ensuite, les arboles de la vida ou arbres de vie. Des sculptures complètement folles… Jugez plutôt : une profusion de détails, chacun façonné dans de l’argile, répartis comme les branches d’un arbre – mais d’un arbre généalogique ! on pourrait ranger un arbre de vie dans un carton à pizza…

Le tout posé sur un pied proportionnellement bien fin.

Le thème le plus classique est la Création, comme l’arbol de près de deux mètres cinquante exposé dans le hall du musée.



Egalement une belle sélection d’arbres de vie très originaux. Les papillons Monarca, qui migrent dans l’état du Michoacan ; les différents types de poteries mexicaines ; le purgatoire…

    

    

Et pour finir, une boutique très complète, avec certains des meilleurs prix vus dans tout le Mexique. Apparemment, cette boutique ne prend aucune marge : le bénéfice de la vente va en totalité aux artisans. A voir les prix, nous finissons par le croire !

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8 juillet 2009 3 08 /07 /juillet /2009 02:35

Dans les esprits, voyager à l’étranger, dans des pays a priori moins propres que chez soi, rime invariablement avec Tourista.

Et bien une semaine que nous sommes au Mexique et rien ! Pourtant nous avons débuté très fort le jour de notre arrivée avec des tacos dégustés sur un marché. Au choix, fleurs de courgettes ou bien un légume rappelant les épinards, présenté(es) dans une galette de maïs pliée en deux. Une sorte de nourriture que l’on trouve à tous les coins de rue et sur les marchés. Et pour accompagner le tout, une agua fresca d’ananas pressé au cric de voiture !

    

Ci-dessous une petite vidéo qui montre comment les cuisinières préparent ces tacos...



Nous avons continué nos expériences culinaires avec du tamarin séché, présenté dans de tous petits gobelets, recouvert de piment en poudre puis du jus d’un citron vert. Délicieux !




A dire vrai, la cuisine mexicaine nous a pour l’instant enchantés par ses saveurs. Beaucoup de citron vert, d’assaisonnements combinant herbes, oignons et épices – le piment est incontournable avec  ses salsas, verde ou roja, relevées mais goûteuses...


Voici d’ailleurs deux recettes que l’oncle de Juan nous a apprises. Ces plats sont servis en apéritif ou comme entrée.


Pommes de terre grenaille assaisonnées, par Hector


1kg de pommes de terre grenaille, aussi petites que possible (il faut pouvoir les manger en une seule bouchée). Vous n’aurez pas à les éplucher.

1 petite boîte de chipotles cuisinés (le chipotle est l’une des nombreuses sortes de piments existant au Mexique). A remplacer par de la harissa / du piment rouge / … selon votre goût.

De l’huile qui tolère la cuisson (Hector n’utilise pas l’huile d’olives pour cuisiner à chaud, ce ne serait pas bon pour la santé.)

Du sel


Laver les pommes de terre et les mettre à cuire à l’eau salée. L’eau doit à peine recouvrir les pommes de terre du dessus.

Ajouter à l’eau de cuisson deux chipotles ainsi qu’un filet d’huile assez généreux

Lorsque les pommes de terre sont cuites (l’eau a dû s’évaporer de moitié), les transvaser avec leur eau de cuisson dans une poêle ou un wok.

Rajouter à nouveau un filet d’huile généreux, réajuster en sel et en piment.

L’eau va finir de s’évaporer et les pommes de terre vont griller dans l’huile. Remuer régulièrement jusqu’à ce que les pommes de terre aient pris une belle couleur.

Les verser dans un saladier, piquer quelques cure-dents et servir tiède ou froid (je les ai préférées tièdes)


Variante avec citron vert et vinaigre de vin blanc : lorsque vous transvasez les pommes de terre dans la poêle ou le wok, rajouter le jus de 2 citrons verts et 1 filet de vinaigre blanc.


Poulpe parfumé sur lit de pommes de terre, par Hector


500g de poulpe coupé en morceaux

6 très grosses pommes de terre, type pommes de terre à purée

Sel

1 bon morceau de gingembre

1 tête d’ail

Huile de cuisson et huile d’olives



Laver et cuire dans de l’eau salée les pommes de terre entières et non épluchées.

Un secret de cuisine d’Hector : lorsque les pommes de terre sont cuites, enlever l’eau et remettre les pommes de terre sur le feu. Les pommes de terre seront ainsi plus savoureuses car l’eau qu’elles contiennent s’ évapore davantage. Les pommes de terre doivent « siffler » et la peau en contact avec le feu se colore. Env. 10-15 minutes.

Hector tient ce « truc » directement d’Allemagne, pays fort amateur de pommes de terre…

Pendant que les pommes de terre cuisent, cuire le poulpe à l’eau.

Eplucher la tête d’ail, hacher menu les gousses que vous aurez au préalable dégermées.

Eplucher le gingembre et le couper en tranches. Ici encore, un truc d’Hector, qu’il tient cette fois-ci d’un chef. Pour éplucher le gingembre, il faut utiliser une petite cuillère ! Et effectivement, c’est ainsi beaucoup plus facile pour enlever la peau.

Dans de l’huile de cuisson chaude, verser l’ail et le gingembre jusqu’à ce que l’ail colore. Hors du feu, rajouter une portion généreuse d’huile d’olives.

Couper les pommes de terre en tranches dans un plat, répartir sur leur dessus le poulpe égoutté et arroser d’huile parfumée à l’ail et au gingembre.

Déguster tiède ou froid, tout simplement délicieux !

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7 juillet 2009 2 07 /07 /juillet /2009 05:13
Rêver ne coûte rien... Si nous devions habiter à DF, nous choisirions donc l'un des quartiers les plus chics de la capitale : San Angel.

Peut-être un peu excentré, mais tellement joli avec ses belles maisons et ses rues pavées à l'ombre des arbres fleuris !

Le soleil et le bruit de la ville eux-mêmes semblent baisser d'un ton lorsqu'ils parcourent ces petites ruelles paisibles...




Beaucoup d'espaces verts où se laisser aller au rêve, notamment le très beau jardin de l'église San Jacinto.


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4 juillet 2009 6 04 /07 /juillet /2009 19:33

A ça !

    


Dans les boutiques, on vend des articles à 99,99 pesos… mais cela signifie 100 : les vendeurs n’ont pas de centimes – et mis à part les pièces de 10 cents, nous n’en avons jamais eu non plus.


Ensuite, des pièces de 50 cents, 1, 2, 5 et 10 pesos




Puis les billets de 20, 50, 100, 200 et 500 (du moins pour ceux que nous avons manipulés). Les nouveaux billets (surtout 20 et 50) ont des parties transparentes et sont indéchirables (j'ai essayé...)




Les vendeurs de tacos ou tamales, dans la rue, utilisent un petit sac plastique pour isoler leur main de l’argent qu’ils gagnent ou le change qu’ils nous rendent. Vous avez déjà vu cela en France ?

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4 juillet 2009 6 04 /07 /juillet /2009 07:30

Nous ne voulions pas séjourner à DF sans voir un spectacle de Lucha Libre... Mais qu'est-ce que la Lucha Libre ? Explication ci-dessous, n'ayant pu prendre de photos pendant le show.

C'est une sorte de catch, où les gentils et les méchants s'affrontent - rassurez-vous, le gentil gagne toujours - dans des combats très impressionnants mais totalement sans danger. Ce concept n'a pas encore été importé en France, voici donc ci-dessous le mode d'emploi pour faire vous-même un spectacle de Lucha Libre. Ce sera la meilleure des illustrations.

Les ingrédients sont simples :
- il faut 6 gaillards pour faire les luchadores (3 gentils et 3 rudos). De préférence bien musclés (abdos Kro ou abdos tout court). Plus le luchador est jeune et musclé, moins son costume est couvrant sauf si le personnage incarné est comique.
Attention : rôle strictement masculin, les femmes  peuvent éventuellement être des naïades (voir ci-dessous)
- 12 à 16 personnes qui assisteront aux répétitions du spectacle (car rien n'est improvisé dans un show de Lucha Libre...) et qui pourront indiquer quand applaudir, souffler les slogans et autres cris à la foule.

Puis, fouillez dans les armoires de tous les membres de votre famille, afin de vous constituer votre costume de scène.
Gardez à l'esprit que ce costume sera votre identité : il doit être compréhensible immédiatement. Si vous êtes un gentil, choisissez des couleurs claires ; si vous êtes un méchant, vous pouvez piocher sans réserve dans la garde Punk Néo-gothic de votre ado / neveu / cousin / etc. (pensez aux musiciens du groupe KISS)

Une tenue de luchador inclut :
- une cape à vos couleurs, aux mêmes dimensions que celle de Batman ou de Superman. Vous la porterez lorsque vous entrerez en scène entourée de belles naïades (recrutez ces jeunes femmes dans votre entourage mais pensez latino-américain : des courbes !)
- un collant en Lycra (type années 80), un peu trop petit pour qu'il soit bien moulant. Selon votre physique et le personnage que vous créez, gardez ce collant long ou bien coupez-le au ras des fesses.
L'ajout de bandes ou de motifs dorés ou argentés sera un plus, surtout positionnés aux endroits stratégiques.
- Portez des chaussons de gymnastique que vous teinterez et décorerez à vos couleurs. Les genouillères sont un plus, surtout lorsque vous effectuerez des enchaînements.
- Créez un masque à partir d'une chutte de votre collant en Lycra. Prévoyez des ouvertures pour les yeux et la bouche, mais pas pour le nez et décorez le masque à vos couleurs (Crête rouge si vous êtes un méchant ; masque autour des yeux façon super héros si vous êtes un gentil)
Ne prévoyez rien pour le buste. Vous serez torse nu.

Choisissez votre nom. Pour vous donner quelques pistes, les gentils s'appellent Mystico, El Angel... et les méchants Felino, Mephisto, etc.

Il ne vous reste plus maintenant qu'à travailler les enchaînements en vue de présenter un spectacle de Lucha Libre. Pour ce faire, il suffit de vous rappeler vos cours de gymnastique (pour les roulades notamment), de danse (lorsque vous aurez gagné, esquissez un pas de danse, cela plaît beaucoup - également des connaissances en rock accrobatique sont un plus lors du spectacle) et d'escalade.

Vous êtes prêt pour votre premier spectacle de Lucha Libre.

Vous pourrez vous produire sur un ring cerné de trois rangs d'élastique de bonne qualité, ni trop lâche ni trop raide ; le dernier rang étant à hauteur d'épaule. Placez les 12 ou 16 personnes sur l'un des côtés du ring pour qu'ils encouragent la foule. Passez une annonce sur Facebook en précisant bien les dates du spectacle.

Voici enfin quelques enchaînements faciles pour débuter :
A votre entrée sur scène, effectuez un saut périlleux avant pour franchir les 3 rangs d'élastiques qui ferment le ring (cf. vos cours de gymnastique, niveau Collège).
Lors du premier contact avec votre adversaire, laissez vous tomber de tout votre long en arrière, bien à plat.
En réponse, traversez le ring en courant, faites un arbre droit au pied des rangs d'élastiques, poussez sur vos bras pour repartir en arrière, double saut périlleux arrière, atterrissage sur les épaules du méchant.
Attaque suivante : le méchant vous soulève en l'air, vous passez vos jambes autour de sa tête, 3 tours sans les mains puis emporté par l'élan, votre adversaire se laisse tomber pour que vous ayez le dessus (c'est ici que le rock accrobatique est un plus).
De joie, vous courez vers l'un des angles du ring, montez les trois rangs d'élastique comme une échelle (pied droit sur le 1er rang, à droite du poteau ; pied gauche sur le 2nd rang, à gauche du poteau, etc.) - cf. notions d'escalade.
Lorsque vous êtes en équilibre sur le 3ème rang d'élastique, vous manifestez votre joie en sautant sur place puis nouveau saut périlleux arrière pour arriver à plat ventre sur votre adversaire au sol.
Si ce dernier reste plus de 3 secondes les épaules contre le sol (durée des secondes variable selon l'avancement du spectacle), vous êtes le vainqueur.

Et tout ceci, sans vous faire mal, ni faire mal à votre adversaire bien sûr... Bravo, vous êtes un vrai Luchador !

Pour vous remettre de ces émotions, quelques photos de mon Luchador préféré, Maximo :

    

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3 juillet 2009 5 03 /07 /juillet /2009 22:46
A l'arrivée des Espagnols dans le Nouveau Monde, quel n'a pas du être l'étonnement des Indiens face à des hommes à barbe, vêtus de métal, crachant du feu...

D'un côté : l'or, les plumes, les armes en obsidienne ; de l'autre, la poudre, le fer et l'avidité. Un véritable choc des cultures.



Aujourd'hui, la culture mexicaine est riche de ce métissage. Pourtant, la rencontre de ces deux mondes a été plus que violente.

Une fresque par Jorge González Camarena, dans le Castillo de Chapultepec (Mexico DF) rend très bien cette idée : un Indien et un Espagnol s'entretuent. Son titre ? "La fusión de dos culturas"...

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3 juillet 2009 5 03 /07 /juillet /2009 03:23

Avant que les Espagnols ne s'emparent de la ville, Mexico City s'appelait Tenochtitlan. C'était à la fois la capitale et le centre spirituel le plus important de la civilisation mexica. Le Templo Major était même considéré comme le centre du monde pour cette culture...

 

L'une des fresques du Palacio Nacional (par Diego Rivera) laisse imaginer l'étonnement ressenti par nos Conquistadores en découvrant Tenochtitlan... Une cité lacustre aux constructions allant jusqu'à 45m de haut (pour le Templo Major) et qui comptait alors 200 000 habitants !



Très vite, les Espagnols prennent le pouvoir et détruisent la cité mexica. Les pierres sont alors réutilisées pour donner corps aux superbes palacios et églises de ce qui allait devenir Mexico City.

(Lithographie rehaussée de couleur de Casimiro CASTRO, 1874-1878)

Le sol très meuble, les inondations et les tremblements de terre récurrents conduisent les Espagnols à assoir leurs constructions sur des plate-formes, elles-mêmes soutenues par des pilotis enfoncés dans le sol. Technique copiée sur les Mexicas...

Malgré cela, de nombreux édifices vont progressivement s'enfoncer dans le sol ! Ainsi, à DF beaucoup d'églises sont penchées ou situées quelques mètres en dessous du niveau de la rue...

  

 

Les Mexicas avaient quant à eux une toute autre technique. Le Templo Mayor a ainsi été recouvert de plus de 5 "couches" successives pour compenser son affaissement - tout en bénéficiant d'améliorations et d'agrandissements...


       

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2 juillet 2009 4 02 /07 /juillet /2009 02:48

Ce quartier au sud de Mexico City est un lieu très prisé des chilangos (petit nom des habitants de DF) pour son ambiance à la fois pittoresque et bohème. Une destination de choix pour la promenade dominicale, aussi bien pour les jeunes que pour les familles… ou les touristes. Vendeurs en tous genres proposent donc à la cantonade leurs babioles. Et d’étranges rituels prennent corps : sachez-le, à Coyoacan, on colle son chewing gum sur les arbres !

Parmi les lieux à ne pas manquer dans ce quartier, le Zócalo (la place principale de toute ville ou village du Mexique – Coyoacan a ensuite été absorbée par DF) et la Malinche, l’une des autres places de Coyoacan. Malheureusement les perspectives et les constructions vantées par les guides touristiques sont masquées par des cahutes proposant Dreamcatchers et autres souvenirs de portée internationale.
 

Pour les amoureux de Frida Kahlo, c’est surtout la Casa Azul, lieu évocateur de la peinture et de la personnalité de cette artiste mexicaine, qui attire à Coyoacan.

    

    

Couleurs saturées des murs extérieurs, feuillages d’un jardin luxuriant, un bougainvillier violet qui grimpe au ciel ; malheureusement peu de peintures de Frida Kahlo ; et surtout une atmosphère unique recréée par les lieux peuplés de nombreux souvenirs.

 

Parmi les toiles exposées, une nature morte aux Pastèques intitulée Viva la vida ou une Naturaleza muerta ronde : le citron vert est notamment rendu au moyen d'un nombre impressionnant de nuances de jaune et vert ! (trouvez Charlie !)

La touche est minutieuse et les tableaux présentent peu de relief. Pourtant le rendu est saisissant de vie et de vitalité. A suivre au Museo de Arte Moderno, qui possède quelques toiles de Frida Kahlo…

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29 juin 2009 1 29 /06 /juin /2009 03:34

Première journée passée à DF (parce qu'on dit DF pour Distrito Federal et non Mexico City)...
En vrac, quelques données :

- le salaire minimum journalier au Mexique est inférieur à notre salaire minimum horaire.

- un loyer dans DF est d'environ 2000 Pesos - pour un appartement dans le centre, de niveau de gamme intermédiaire, soit env. 134 euros.

- un ticket de métro vaut 2 pesos (13 centimes d'euros)

- les étudiants en thèse ne reçoivent pas de bourse et travaillent donc en parallèle (au salaire indiqué ci-dessus). C'est ainsi que Juan Angel, notre hôte actuel est à la fois étudiant en anthropologie... et mécanicien automobile !


- toutes les Coccinelles semblent prendre leur retraite à Mexico City

- et juste pour le plaisir, vous serez heureux d'apprendre que le chien à la mode à DF est le Schnauzer nain.


De prime abord, DF rappelle ces villes d'Asie, à la lumière tamisée mais très blanche ; à la végétation omniprésente et très fleurie. Beaucoup d'espaces verts et de fontaines...

Les immeubles montrent des façades lézardées, lépreuses mais peintes de couleurs vives.

DF a la réputation d'être très sale et peu sûre, pourtant on pourrait croire que la moitié de ses habitants travaille pour la police et que l'autre moitié est employée par la Mairie à l'entretien ou aux espaces verts. Pas une intersection sans son policier ni de jardin sans son équipe de balayeurs !




Beaucoup de petits métiers, exercés en plein air ou dans des enfilades de petites cahutes. Au choix, impression de cartes de visites sur presse à bras, entretien des chaussures, parfums, bijoux, bondieuseries ou médecines traditionnelles...

    

    

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28 juin 2009 7 28 /06 /juin /2009 18:53
11 heures d'avion et toujours frais ! A nous Mexico City !

Eleven hours in a plane and still valliant! Ready to go and visit the city!
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